Là où l'étrange, se mêle au surnaturel....

Là où l'étrange, se mêle au surnaturel....

Lieux hantés en France.

Sujet passionnant qui méritera une ré-édition beaucoup plus complète. 


Lieux hantés en France.

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Carte des lieux hantés en France. 

 

https://www.google.com/maps/d/viewer?mid=zrsau0Ec2vqI.kASggfLDfOWE

 

Quelques lieux réputés :

 

Le Château de Fougeret

 
Le Château de Fougeret

Situé dans la ville de Queaux, au cœur du département de la Vienne, ce bâtiment majestueux a été répertorié dès le 14ème siècle, alors que débutait la Guerre de Cent ans.

Le Château de Fougeret fait aujourd’hui la joie des amateurs de phénomènes paranormaux et a même fait l’objet d’émissions sur le sujet. Apparitions fantomatiques et voix invitant les visiteurs à quitter les lieux semblent indiquer que les fantômes qui y vivent tiennent à leur tranquillité. Un homme qui coupait du bois peinard dans le parc du château dit même avoir été touché par un être invisible.

 

Documentaire dans le journal de 13 H :

 

Dans la Vienne, les mystères d'un châteaux hanté. 

 

http://lci.tf1.fr/jt-13h/videos/2015/dans-la-vienne-les-mysteres-d-un-chateau-hante-8673831.html

 

Si vous souhaitez y passer une nuit où plus c'est possible, frisson garanti. 

 

http://www.fougeret.com/nuitee

 

 

 

Les Catacombes

 
Les Catacombes

Endroit lugubre par excellence, les Catacombes parisiennes se devaient de figurer dans un tel listing. Pour les ossements qui jonchent les murs de ces dédales bien sûr, et pour toutes les légendes qui caractérisent le lieu et son histoire, mais pas seulement, puisqu’un certain Homme Vert y a élu domicile il y a très longtemps. Signalé dès 1777, ce dernier laisse des traces de pas sur le sol, frôle les visiteurs, et aurait même été furtivement aperçu à plusieurs reprises. Pensez-y la prochaine fois que vous descendrez dans les sombres entrailles de la capitale.

 

Le site officiel des CATACOMBES DE PARIS Surpris

 

http://www.catacombes.paris.fr/

 

 

Le Château de Martinvast

 
Le Château de Martinvast

Plusieurs fois détruit puis reconstruit, ce superbe château est peuplé de nombreux fantômes. Des esprits qui, au grand dam de la propriétaire « ne payent pas de loyer », mais qui contribuent à la popularité de ce site d’exception. On peut ainsi entendre, presque toutes les nuits, des enfants jouant aux billes dans les couloirs du premier étage, des anciens soldats de la Guerre de Cent ans qui font sonner le clairon…Une femme serait même entrée en contact avec un mentaliste.

 

 

Le 13h :

 

http://lci.tf1.fr/jt-13h/videos/2013/lieux-hantes-martinvast-3-5-8306632.html

 

Site officiel

 

http://www.chateau-martinvast.fr/

 

La Forêt de Brocéliande

 
La Forêt de Brocéliande

L’Arbre d’Or du Val sans retour.

Lieu mythique appartenant à la légende du Roi Arthur et de Merlin l’enchanteur, la Forêt de Brocéliande est un spot incontournable pour tous ceux qui cherchent à vivre une expérience paranormale (et pour les fans de Chrétien de Troyes). Merlin lui-même y vivrait encore, emprisonné quelque part. La Fontaine de Barenton, où le magicien rencontrait la douce Viviane, aurait le pouvoir de faire pleuvoir. Le Val sans retour, lui, pourrait retenir ses visiteurs. Quant au Château de Trécesson, il abrite apparemment plusieurs fantômes, dont une dame blanche. Bref, véritable Disneyland de l’étrange, Brocéliande n’a pas fini de dévoiler ses charmes et continue de fasciner.

 

La forêt de Brocéliande légende :

Foret de Broceliande2

UNE PARENTHÈSE ENCHANTÉE

La forêt de Brocéliande s’étend sur 7 000 ha, sur un vaste territoire, aux confins de l’Ille et Vilaine et du Morbihan. Sculptée par la nature, l’histoire et les hommes, elle demeure le plus grand massif forestier de Bretagne. Son cadre somptueux à l’atmosphère envoûtante invite au rêve et à la découverte.

FORÊT DE BROCÉLIANDE OU DE PAIMPONT ?

En réalité, la forêt de Brocéliande désignait une antique forêt de 200 000 ha, qui recouvrait le massif de Paimpont et plus largement le Porhoët, c’est à dire le « pays au travers de la forêt » (avant le XIème s). Fidèle à ses origines, la Destination a conservé son immense envergure, de la Locminé à Bréal-sous-Montfort. Exploitée par les premiers agriculteurs, par les seigneuries successives et par les Forges, les contours de Brocéliande ont évolué pour s’établir autour de Paimpont. Voilà pourquoi les 2 appellations cohabitent aujourd’hui. Au fil du temps, les belles futaies de feuillus de la forêt profonde ont laissé place à des taillis de chênes. La douceur du climat a ensuite favorisé l’implantation des résineux. Ces apports naturels, influencés par l’économie locale, composent une palette de paysages variés, attrait majeur du site. Bois, landes, bocages, étangs et tourbières accueillent une faune et une flore remarquables par leur richesse.

ENTREZ DANS LA LÉGENDE

Hindres Broceliande

 

Randonneurs, amoureux de la nature, citadins en quête de dépaysement succombent immédiatement à la poésie de cette contrée. Auprès d’arbres extraordinaires, le tourisme prend ici un autre sens, empreint de respect et d’émerveillement. En toutes saisons, une vie secrète anime ce pays captivant. Au printemps, les fleurs font jaillir leurs vifs éclats. A l’automne, les feuillages arborent de somptueuses couleurs. Lors des grandes migrations, les oiseaux se donnent rendez-vous sur les étangs. Et que dire des farfadets ou fées qui traversent vos chemins ! Sertis dans ces paysages préservés, les célèbres Forges de Paimpont, les villages de Tréhorenteuc ou de Comper content, à leur manière, les liens qui unissent les habitants à l’esprit de la forêt.    

 

Merlin l'enchanteur et la forêt magique de Brocéliande, laissez vous porter par ces magnifiques récits qui traversent le temps ..... 

 

http://focus.tv5monde.com/legendesfrancaises/

 

 

La Dame blanche de Palavas-les-Flots

 
La Dame blanche de Palavas-les-Flots
 

Les dames blanches font partie intégrante du folklore paranormal. Les histoires se comptent par dizaine en France et ailleurs, et à chaque fois, le scénario est à peu près le même (celle de Caen est aussi très célèbre). Une histoire revient néanmoins souvent : celle de la mystérieuse auto-stoppeuse de Palavas-les-Flots, qui monta dans la voiture de plusieurs jeunes gens non-alcoolisés (l’enquête de Police le confirma) par un soir de 1981. Une femme habillée de blanc donc, la cinquantaine, et peu encline à faire la discussion aux occupants du véhicule. Assise tranquillement à l’arrière, la dame blanche a disparu alors que la voiture roulait, juste après avoir crié « Attention au virage, attention au virage ». Depuis, difficile d’emprunter cette route, reliant la station balnéaire à Montpellier, sans se dire que la dame blanche fera peut-être son apparition…

 

http://www.dailymotion.com/video/xe7uao_la-dame-blanche-de-palavas-partie-1_tech

 

Les ruines de Gréoux-les-Bains

 
Les ruines de Gréoux-les-Bains

Cette ancienne commanderie des Alpes-de-Haute-Provence réserve son lot de sensations fortes aux amateurs de frissons. Les bruits s’y multiplient, ainsi que les apparitions ectoplasmiques et les projections de silhouettes sur les vieilles pierres. Idéal pour pimenter sa thalasso…

 

 

Les Templiers en Haute Provence:

 

Dans cette province de Haute Provence comme partout ailleurs en France, les Templiers recueillirent de nombreuses donations des seigneurs du cru. C'est pourquoi, on les trouve implantés un peu partout. Notre province ne fait pas exception. Ces lieux pouvaient servir de base arrière pour le repos ou pour les soins apportés aux blessures reçues en Terre Sainte. Ils n'ont pas laissé énormément de traces architecturales comme dans d'autres provinces françaises mais pratiquement chaque village avait sa maison templière ou était rattaché à un organisme templier.

 

 

Dès le 12 ème siècle, les Templiers se virent, comme en Palestine, confier la sécurité des axes routiers qui étaient infestés de brigands et autres détrousseurs de grands chemins. Les commanderies en Provence avaient à leur tête Richerenches(Vaucluse-enclave des Papes) qui avait rang de « préceptorie » (à partir de 1138). Elle fournissait, en particulier, les chevaux des moines soldats.

 

--- Richerenches.

 

 

Le plus grand bâtiment des Alpes de Haute Provence qui peut se rattacher à eux est le château de Gréoux les Bains dont la construction a commencée au XII ème siècle. Ce château est un point de rencontre des diverses interprétations de l'histoire. En effet, certains historiens pensent que les Templiers furent là, d'autres écrivent qu'ils ne furent pour rien dans les anciens temps de cette ville de thermalisme. La légende dit qu'ils l'édifièrent pour héberger les blessés qui, ainsi, pouvaient bénéficier des vertus des eaux du village.

 

 

 

Leur présence est établie par l'abbé Féraud mais est considérée comme une fable par Raymond Collier (archiviste et historien des Alpes de Haute Provence) qui dit, quand même, que le donjon pourrait remonter à eux mais il parle de leur époque et ajoute le mot « hypothétiquement » et par J.A. Durbec. Par contre Falque de Bézaure, dans son livre « Sur les Traces des Templiers de Gréoux les Bains » 1966, parle d'une occupation qui dura 164 ans. Dans les archives concernant ce château et cette ville qui nous ont été conservées (consultables à la Bibliothèque Nationale ), il n'est nulle part fait mention des Templiers ainsi que dans les chroniques de l'époque, on retrouve le château cité à plusieurs reprises mais sans aucune référence aux pauvres chevaliers.

 

On ne parle que des Hospitaliers, il est vrai qu'ils furent leurs héritiers. La légende du Temple ne remonterait qu'au XVIII ème siècle (1753) lorsqu'un certain docteur Esparron écrivit un « Traité sur les Eaux de Gréoux » en faisant référence à eux comme seigneurs de cette ville. Puis des historiens locaux reprirent à leur compte cette origine, ils se copièrent les uns les autres sans faire aucune vérification.

 

C'est ainsi que Falque de Bézaure parle dans son livre (référence plus haut) d'un historien local : Emile Poitevin qui assure qu'en 1144, le château fut cédé par Raimond Bérenger III. Un autre historien, l'abbé Corriol, dans son livre « Les Actes du Clergé Régulier et Séculier de la Haute Provence  » fait mention de l'abbé Sollier (de Céreste) qui trouva à Avignon, au 18 ème siècle, des relations d'interrogatoires de Templiers de Haute Provence dont deux à Gréols.

 

Toujours d'après cet abbé Corriol, les minutes du procès se trouvent aux archives de la préfecture de cette ville. L'un d'eux succombera aux sévices qui lui furent infligés. L'autre fut brûlé comme relaps ; le bailli du comte de Provence, à Moustiers, fut chargé de les arrêter. Et pour terminer sur Gréoux, il faut dire qu'ils auraient eu (toujours au conditionnel) un droit de péage jusqu'en 1308, date de leur déchéance et que ce dernier serait tombé aux mains du seigneur de Puimoisson.

 

 

 

 

Les Templiers n'ont pas laisser un souvenir important en Haute Provence, ils ont fait la police sur les routes de la région, ils ont pratiqué l'agriculture (Richerenches), ils ont soignés leurs grands blessés de Terre Sainte, aucun texte n'est là pour nous inviter à penser qu'ils furent les trésoriers des Comtes de Provence comme ils le furent des rois à Paris. Ils ne restent d'eux, comme on va le voir, que quelques légendes et quelques vielles pierres.

 

 

Malgré ce que l'on pense, ils auraient eu une implantation à Forcalquier, la preuve en est apportée par « l'inventaire des pièces du Fons Dupuy » qui rapporte que le comte de Forcalquier aurait fait une donation à la maison du Temple, en décembre 1209.

Pour continuer avec ce comté, on remarquera qu'il eut de tout temps des relations étroites avec l'ordre puisqu'à son origine appartenant à la maison d'Urgel, il fut crée indépendant sous l'arbitrage de Pons de Rigaud, maître de la milice du Temple pour la Provence  ; leur installation remonterait à l'époque d'Ermangaud d'Urgel, c'est le « Fons Dupuy », conservé à la bibliothèque nationale qui apporte la preuve de l'existence d'une commanderie, comme je l'ai déjà dit, elle devait être contiguë à la citadelle. Pour continuer avec ce comté, on verra un de ses comtes, Guillaume IV, leur donner tous ses biens à son décès et son neveu, Guillaume de Sabran, voulut se faire enterrer dans le cimetière qu'ils avaient dans cette ville. Mais Cyprien Bernard dans son livre « Essai historique sur la ville de FORCAQUIER » parle des Hospitaliers.

 

 

Ils auraient été aussi présents à Lardiers, selon l'abbé Féraud à La Javie , à Limans où ils furent arrêtés par les gens d'arme de Forcalquier sur ordres de Charles II, comte de Provence, à Lurs où le château des évêques de Sisteron aurait été construit et occupé au XII ème siècle par des Templiers.

D'autres traces livresques ou archéologiques on été relevés, en particulier pour les villages de CHATEAUNEUF près de Moustiers où si l'on en croit l'abbé Féraud, on rencontre une grotte qui, selon la légende, aurait vu la présence d'un templier, évadé de sa prison, ce lieu a donné naissance à une chapelle : Notre Dame de la Baume  ; toujours selon cet abbé, BRUNET aurait possédé un établissement templier à 1 km . des habitations ; d'après lui à ESPARRON sur VERDON, la maison templière se trouvait à l'endroit nommé «  La Tour  », ils seraient venus là suite à une donation faite par l'abbaye de Lerins ; des historiens locaux leur attribuent la construction de la citadelle de MANE ; l'abbé Corriol pense que PORCHERES était une commanderie et que la tour serait due à un de leur architecte ; Bouche, l'abbé Féraud, l'abbé Corriol voient à REILLANNE un hospice pour recueillir les chevaliers blessés de retour de la Terre Sainte  ; on peut voir quelques ruines à DRAIX (proche de Digne) qui serait des restes d'une commanderie ; ils auraient eu un couvent à CASTELLET les SAUSSES (ente Entrevaux et Annot, dominant la vallée du Var) mais d'après J.A. Durbec dans son livre  « Templiers et Hospitaliers en Provence et dans les Alpes Maritimes » 2001, ce ne serait que des racontars, ils n'y auraient jamais rien possédé pourtant au Moyen Age la ville portait le nom de « Castellum Monasterium  », nom qui évoque la présence d'un monastère.

 

D'autres « ont dits » les placent un peu partout, à SISTERON, on leur attribue la construction de la chapelle de la citadelle (1202). Ils y auraient placé une garnison, charge au comte de Forcalquier de les entretenir ; à LA BRILLANNE , en 1140, la comtesse de Forcalquier, Adélaïde, leur donna le château qui passa ensuite en la possession des évêques de Sisteron ; à ENTREPIERRES, village proche de Sisteron, on trouvait encore en 1865 les ruines d'un monastère qui leur aurait appartenu ; à FUGERET, près d'Annot, on leur doit probablement l'église, ils devaient avoir un établissement près de la fontaine.

 

D'autres présences sont évoquées par Falque de Bézaure. A ANNOT, ils avaient une demeure avec une chapelle dite de Verimande ; à BARRAS, ils avaient une maison dépendante du temple de Digne ; en particulier, il parle du village de BEAUJEU, près de Digne, en citant un historien local : Berluc Perussis qui a écrit « c'est dans l'ancienne crypte de la chapelle que se trouveraient les archives dites générales concernant les comptes-rendus de tous les grands chapitres. » et l'abbé Féraud « on trouve au sommet de la colline qui domine Beaujeu les ruines d'une ancienne tour que la tradition attribue aux Templiers. » ; à CASTELLANE où ils s'installèrent au XIII ième siècle, ils avaient une maison au quartier Cheiron et leur établissement principal se trouvait près de l'ancienne église Saint Pierre ; à CHATEAUNEUF les MANES, près de Forcalquier, ils arrivèrent en 1306 au lieu-dit le Petit Sauvan suite à une donation faite à la maison de Limans, et puisqu'on parle de Limans, restons y, ils reçurent (les Templiers de ce village) un terrain à Cruis de l'abbé de Lure où ils bâtirent un édifice qui passa aux Hospitaliers de Manosque en 1314 ; à CLUMANE, la tradition raconte qu'ils auraient fondé le village et qu'ils y auraient dédié l'église à Notre Dame ; à ENTREVAUX la

 

 

--- Entrevaux.

 

Commanderie du Temple se serait trouvée au lieu-dit « Le Désert » ; et la préfecture du département, DIGNE, avait aussi sa commanderie qui aurait été fondé par ceux de Sisteron.

On voit, donc, que les Templiers eurent, en Haute Provence, une vie faite de discrétion, certes non dénuer de dévouement mais peu marquée. Ils ont laissé peu de traces dans notre région, contrairement à d'autres éléments venus du Moyen Age, tout ce qui se rapporte à eux, a comme mode de conjugaison, le conditionnel…

 

Château de Bonaguil

 
Château de Bonaguil

Lieu de tournage du film culte « Le Vieux Fusil » de Robert Enrico, le Château de Bonaguil, dans le département du Lot-et-Garonne, est une merveille d’architecture médiévale. Accueillant de nombreux touristes, ce lieu est également populaire pour ses fantômes. Pour sa dame blanche notamment, mais pas seulement, car on parle carrément d’une porte ouverte sur l’enfer.

L’équipe de RIP Recherches Investigations Paranormal a mené l’enquête, et rapporte des faits troublants : pression exercée sur l’épaule, sensation de brûlure, hurlement accompagnant le vent, chute de température, multiplication de bruits franchement flippants, les phénomènes sont nombreux et font de ce lieu l’un des plus hantés de notre beau pays.

 
Les 24 lieux les plus hantés de France
 
Notre monde regorge d'histoires mystérieuses et de légendes que l'on ne peut ignorer !
Vivre le surnaturel comme faisant partie intégrante de nos vies est le meilleur moyen de ne jamais rompre le contact
avec les êtres chers qui ont disparu de ce monde, mais qui restent dans celui parallèle. 
Soyez à l'écoute de votre sensibilité et de vos ressentis, ne les refoulez pas. Nous avons tellement à apprendre de l'autre monde. 
 
A mon Papa pour toujours ensemble, ici et là bas. 
 
Sylvia. 

18/12/2015
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